Le terme ébéniste découle des “menuisiers en ébène”, daté du XVIIème siècle.
De la réparation d’une chaise à la reprise d’un bois fissuré, les apports de l’ébéniste sont alors patience et minutie jusqu’à la finition, le dernier lustrage. Les techniques de restauration des meubles varient, chaque artisan apporte sa façon aux divers apprentissages qu’il a pu acquérir. Il y a donc autant de particularités que d’artisans ébénistes.
Le travail se fait ou se termine de manière artisanal en essayant, dans la mesure du possible d’employer les outils de l’époque. Cette éthique est valable pour les produits utilisés (colle chaude à base d’os et de nerf, colle de poisson, etc…)